Les revenus fonciers
Vous voulez investir dans le locatif ?
Déterminer votre capacité d'emprunt en moins de 5 minutes !

Les revenus fonciers
Les revenus fonciers
Par : Léa N.
Par : Léa N.
Par : Léa N.
6 min de lecture
6 min de lecture
6 min de lecture
juin 2024
juin 2024
juin 2024
Lorsque vous investissez dans une location immobilière nue, les loyers que vous percevez en tant que propriétaire bailleur sont considérés par le fiscaliste comme des revenus fonciers et doivent être déclarés aux impôts.
Ces revenus font partie des 8 catégories de revenus imposables. En ce qui concerne la Location Meublée Non Professionnelle (LMNP), les revenus locatifs sont classés comme des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Cela signifie qu'ils doivent également être déclarés aux impôts, mais selon les régimes d’imposition spécifiques aux BIC. Pour plus de détails, vous pouvez consulter l'article dédié que nous avons publié à ce sujet.
Chers propriétaires louant un logement non meublé, nous faisons le point pour vous sur les différents régimes d’imposition ainsi que sur les charges déductibles.
Les différents régimes d’imposition
Les différents régimes d’imposition
Les différents régimes d’imposition
Comme les BIC, les revenus fonciers peuvent être soumis à deux régimes d’imposition distincts, au choix :
1. Le régime micro-foncier : pour les recettes annuelles jusqu’à 15 000 euros, avec un abattement forfaitaire de 30% des charges.
2. Le régime réel : vous calculez vous-même vos revenus nets imposables en déduisant de vos revenus perçus les charges déductibles et les avantages fiscaux éventuels (comme le dispositif Pinel ou Denormandie).
Pour choisir entre ces régimes, il est important d'examiner les avantages et les inconvénients de chacun, en tenant compte du montant de vos revenus et de vos charges :
Si vos recettes dépassent 15 000 euros, vous êtes automatiquement placé sous le régime réel.
Si vos recettes sont inférieures à ce plafond, calculez le total de vos charges déductibles. Si ce total dépasse 30% de vos revenus fonciers, alors le régime réel sera plus avantageux (Note : en optant pour ce régime, vous devez le conserver pendant au moins 3 ans). Si ce n'est pas le cas, vous pouvez rester au régime micro-foncier, qui offre une déclaration simplifiée.
Comme les BIC, les revenus fonciers peuvent être soumis à deux régimes d’imposition distincts, au choix :
1. Le régime micro-foncier : pour les recettes annuelles jusqu’à 15 000 euros, avec un abattement forfaitaire de 30% des charges.
2. Le régime réel : vous calculez vous-même vos revenus nets imposables en déduisant de vos revenus perçus les charges déductibles et les avantages fiscaux éventuels (comme le dispositif Pinel ou Denormandie).
Pour choisir entre ces régimes, il est important d'examiner les avantages et les inconvénients de chacun, en tenant compte du montant de vos revenus et de vos charges :
Si vos recettes dépassent 15 000 euros, vous êtes automatiquement placé sous le régime réel.
Si vos recettes sont inférieures à ce plafond, calculez le total de vos charges déductibles. Si ce total dépasse 30% de vos revenus fonciers, alors le régime réel sera plus avantageux (Note : en optant pour ce régime, vous devez le conserver pendant au moins 3 ans). Si ce n'est pas le cas, vous pouvez rester au régime micro-foncier, qui offre une déclaration simplifiée.
Comme les BIC, les revenus fonciers peuvent être soumis à deux régimes d’imposition distincts, au choix :
1. Le régime micro-foncier : pour les recettes annuelles jusqu’à 15 000 euros, avec un abattement forfaitaire de 30% des charges.
2. Le régime réel : vous calculez vous-même vos revenus nets imposables en déduisant de vos revenus perçus les charges déductibles et les avantages fiscaux éventuels (comme le dispositif Pinel ou Denormandie).
Pour choisir entre ces régimes, il est important d'examiner les avantages et les inconvénients de chacun, en tenant compte du montant de vos revenus et de vos charges :
Si vos recettes dépassent 15 000 euros, vous êtes automatiquement placé sous le régime réel.
Si vos recettes sont inférieures à ce plafond, calculez le total de vos charges déductibles. Si ce total dépasse 30% de vos revenus fonciers, alors le régime réel sera plus avantageux (Note : en optant pour ce régime, vous devez le conserver pendant au moins 3 ans). Si ce n'est pas le cas, vous pouvez rester au régime micro-foncier, qui offre une déclaration simplifiée.
Comme les BIC, les revenus fonciers peuvent être soumis à deux régimes d’imposition distincts, au choix :
1. Le régime micro-foncier : pour les recettes annuelles jusqu’à 15 000 euros, avec un abattement forfaitaire de 30% des charges.
2. Le régime réel : vous calculez vous-même vos revenus nets imposables en déduisant de vos revenus perçus les charges déductibles et les avantages fiscaux éventuels (comme le dispositif Pinel ou Denormandie).
Pour choisir entre ces régimes, il est important d'examiner les avantages et les inconvénients de chacun, en tenant compte du montant de vos revenus et de vos charges :
Si vos recettes dépassent 15 000 euros, vous êtes automatiquement placé sous le régime réel.
Si vos recettes sont inférieures à ce plafond, calculez le total de vos charges déductibles. Si ce total dépasse 30% de vos revenus fonciers, alors le régime réel sera plus avantageux (Note : en optant pour ce régime, vous devez le conserver pendant au moins 3 ans). Si ce n'est pas le cas, vous pouvez rester au régime micro-foncier, qui offre une déclaration simplifiée.
Le saviez-vous ?
L’investissement LMNP clé en main
+8.5% de rentabilité nette d'impôt
LICLOC vous fait bénéficier d'un bilan patrimonial gratuit !
Parler à un Expert
C'est gratuit et sans engagement

Le saviez-vous ?
L’investissement LMNP clé en main
+8.5% de rentabilité nette d'impôt
LICLOC vous fait bénéficier d'un bilan patrimonial gratuit !
Parler à un Expert
C'est gratuit et sans engagement

Le saviez-vous ?
L’investissement LMNP clé en main
+8.5% de rentabilité nette d'impôt
LICLOC vous fait bénéficier d'un bilan patrimonial gratuit !
Parler à un Expert
C'est gratuit et sans engagement

Le saviez-vous ?
L’investissement LMNP clé en main
+8.5% de rentabilité nette d'impôt
LICLOC vous fait bénéficier d'un bilan patrimonial gratuit !
Parler à un Expert
C'est gratuit et sans engagement

Quelles charges déduire au régime réel ?
Quelles charges déduire au régime réel ?
Quelles charges déduire au régime réel ?
Le principe de base est le suivant : sont déductibles toutes les dépenses liées à l'entretien du logement mis en location. Cela exclut les améliorations pures telles que les agrandissements, les piscines ou les terrasses.
Voici une liste plus précise des catégories de charges déductibles :
1. Dépenses d'entretien, de réparation et d'amélioration de la performance énergétique ;
2. Frais de gestion
3. Provisions pour charges de copropriété
4. Primes d'assurance
5. Intérêts d'emprunt
6. Impôts et taxes
7. Indemnités d'éviction et frais de relogement
Pour qu'une dépense relevant de ces catégories soit réellement déductible, il est nécessaire :
qu'elle soit justifiée (les factures et les justificatifs de paiement doivent être conservés en cas de contrôle fiscal)
qu'elle soit effectivement à la charge du propriétaire ;
qu'elle ait été payée au cours de l'année d'imposition.
Le principe de base est le suivant : sont déductibles toutes les dépenses liées à l'entretien du logement mis en location. Cela exclut les améliorations pures telles que les agrandissements, les piscines ou les terrasses.
Voici une liste plus précise des catégories de charges déductibles :
1. Dépenses d'entretien, de réparation et d'amélioration de la performance énergétique ;
2. Frais de gestion
3. Provisions pour charges de copropriété
4. Primes d'assurance
5. Intérêts d'emprunt
6. Impôts et taxes
7. Indemnités d'éviction et frais de relogement
Pour qu'une dépense relevant de ces catégories soit réellement déductible, il est nécessaire :
qu'elle soit justifiée (les factures et les justificatifs de paiement doivent être conservés en cas de contrôle fiscal)
qu'elle soit effectivement à la charge du propriétaire ;
qu'elle ait été payée au cours de l'année d'imposition.
Le principe de base est le suivant : sont déductibles toutes les dépenses liées à l'entretien du logement mis en location. Cela exclut les améliorations pures telles que les agrandissements, les piscines ou les terrasses.
Voici une liste plus précise des catégories de charges déductibles :
1. Dépenses d'entretien, de réparation et d'amélioration de la performance énergétique ;
2. Frais de gestion
3. Provisions pour charges de copropriété
4. Primes d'assurance
5. Intérêts d'emprunt
6. Impôts et taxes
7. Indemnités d'éviction et frais de relogement
Pour qu'une dépense relevant de ces catégories soit réellement déductible, il est nécessaire :
qu'elle soit justifiée (les factures et les justificatifs de paiement doivent être conservés en cas de contrôle fiscal)
qu'elle soit effectivement à la charge du propriétaire ;
qu'elle ait été payée au cours de l'année d'imposition.
Le principe de base est le suivant : sont déductibles toutes les dépenses liées à l'entretien du logement mis en location. Cela exclut les améliorations pures telles que les agrandissements, les piscines ou les terrasses.
Voici une liste plus précise des catégories de charges déductibles :
1. Dépenses d'entretien, de réparation et d'amélioration de la performance énergétique ;
2. Frais de gestion
3. Provisions pour charges de copropriété
4. Primes d'assurance
5. Intérêts d'emprunt
6. Impôts et taxes
7. Indemnités d'éviction et frais de relogement
Pour qu'une dépense relevant de ces catégories soit réellement déductible, il est nécessaire :
qu'elle soit justifiée (les factures et les justificatifs de paiement doivent être conservés en cas de contrôle fiscal)
qu'elle soit effectivement à la charge du propriétaire ;
qu'elle ait été payée au cours de l'année d'imposition.
