Les aides à la rénovation

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Les aides à la rénovation

Les aides à la rénovation

Par : Léa N.

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5 min de lecture

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juin 2024

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juin 2024

Vous avez investi dans une propriété locative et envisagez des travaux dans votre logement en tant que propriétaire bailleur d'une résidence principale occupée ?


Avant de commencer, vérifiez si vous pouvez bénéficier d'une aide gouvernementale. Voici quelques points à vérifier :


1. Votre propriété est habitable, conforme aux normes de décence.

2. Aucun financement public n'a été accordé à votre propriété au cours des cinq dernières années.

3. Votre propriété est terminée depuis au moins quinze ans (sauf pour les travaux d'accessibilité aux personnes âgées et handicapées).

Si vous remplissez ces trois critères, vous pouvez poursuivre votre lecture ! Si cela vous semble complexe, sachez que vous pouvez également obtenir de l'aide auprès d'un opérateur spécialisé. Ce dernier peut vous assister dans les diagnostics, l'élaboration du plan de financement et le montage du dossier.

Les travaux de réhabilitation et d’amélioration

Les travaux de réhabilitation et d’amélioration

Les travaux de réhabilitation et d’amélioration

Quelques exemples de projets :


  • Confortement des fondations ou remplacement d’une toiture ;

  • Installation ou rénovation de réseaux d’eau, d’électricité ou de gaz ;

  • Installation d’une salle de bain et de toilettes ;

  • Installation d’une rampe d’accès.


En fonction de l’état initial du logement et du type de travaux entrepris, les aides et leur montant diffèrent. Dans la première catégorie, on retrouve les travaux lourds dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 1 000 € HT / m² dans la limite de 80 000 € par logement. Ils désignent la réhabilitation de logements dont le niveau de dégradation a été constaté par un diagnostic ou un arrêté d'insalubrité ou de péril.


Gros travaux de réhabilitation d’un logement très dégradé : Habiter serein

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 350 euros au mètre carré dans la limite de 28 000 euros par logement. Dans la seconde catégorie sont regroupés les travaux d’amélioration dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 750 € HT / m² dans la limite de 80 m².


Travaux de mise en sécurité et de salubrité : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


Travaux d’adaptation pour l’autonomie de la personne (âge ou handicap) : Habiter facile

Comme dans le cas précédent, pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


Travaux de rénovation : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 187,50 euros au mètre carré dans la limite de

15 000 € par logement.


Les engagements du bailleur

L’ensemble des aides mentionnées exigent des contreparties :

  • La location au titre de résidence principale pendant au moins 9 ans ;

  • Un niveau de loyer maximal à respecter ;

  • Un choix de locataires dont le niveau de ressources ne dépasse pas certains plafonds.

Un tel conditionnement du logement donne par ailleurs lieu à un avantage fiscal.

Quelques exemples de projets :


  • Confortement des fondations ou remplacement d’une toiture ;

  • Installation ou rénovation de réseaux d’eau, d’électricité ou de gaz ;

  • Installation d’une salle de bain et de toilettes ;

  • Installation d’une rampe d’accès.


En fonction de l’état initial du logement et du type de travaux entrepris, les aides et leur montant diffèrent. Dans la première catégorie, on retrouve les travaux lourds dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 1 000 € HT / m² dans la limite de 80 000 € par logement. Ils désignent la réhabilitation de logements dont le niveau de dégradation a été constaté par un diagnostic ou un arrêté d'insalubrité ou de péril.


Gros travaux de réhabilitation d’un logement très dégradé : Habiter serein

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 350 euros au mètre carré dans la limite de 28 000 euros par logement. Dans la seconde catégorie sont regroupés les travaux d’amélioration dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 750 € HT / m² dans la limite de 80 m².


Travaux de mise en sécurité et de salubrité : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


Travaux d’adaptation pour l’autonomie de la personne (âge ou handicap) : Habiter facile

Comme dans le cas précédent, pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


Travaux de rénovation : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 187,50 euros au mètre carré dans la limite de

15 000 € par logement.


Les engagements du bailleur

L’ensemble des aides mentionnées exigent des contreparties :

  • La location au titre de résidence principale pendant au moins 9 ans ;

  • Un niveau de loyer maximal à respecter ;

  • Un choix de locataires dont le niveau de ressources ne dépasse pas certains plafonds.

Un tel conditionnement du logement donne par ailleurs lieu à un avantage fiscal.

Quelques exemples de projets :


  • Confortement des fondations ou remplacement d’une toiture ;

  • Installation ou rénovation de réseaux d’eau, d’électricité ou de gaz ;

  • Installation d’une salle de bain et de toilettes ;

  • Installation d’une rampe d’accès.


En fonction de l’état initial du logement et du type de travaux entrepris, les aides et leur montant diffèrent. Dans la première catégorie, on retrouve les travaux lourds dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 1 000 € HT / m² dans la limite de 80 000 € par logement. Ils désignent la réhabilitation de logements dont le niveau de dégradation a été constaté par un diagnostic ou un arrêté d'insalubrité ou de péril.


Gros travaux de réhabilitation d’un logement très dégradé : Habiter serein

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 350 euros au mètre carré dans la limite de 28 000 euros par logement. Dans la seconde catégorie sont regroupés les travaux d’amélioration dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 750 € HT / m² dans la limite de 80 m².


Travaux de mise en sécurité et de salubrité : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


Travaux d’adaptation pour l’autonomie de la personne (âge ou handicap) : Habiter facile

Comme dans le cas précédent, pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


Travaux de rénovation : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 187,50 euros au mètre carré dans la limite de

15 000 € par logement.


Les engagements du bailleur

L’ensemble des aides mentionnées exigent des contreparties :

  • La location au titre de résidence principale pendant au moins 9 ans ;

  • Un niveau de loyer maximal à respecter ;

  • Un choix de locataires dont le niveau de ressources ne dépasse pas certains plafonds.

Un tel conditionnement du logement donne par ailleurs lieu à un avantage fiscal.

Quelques exemples de projets :


  • Confortement des fondations ou remplacement d’une toiture ;

  • Installation ou rénovation de réseaux d’eau, d’électricité ou de gaz ;

  • Installation d’une salle de bain et de toilettes ;

  • Installation d’une rampe d’accès.


En fonction de l’état initial du logement et du type de travaux entrepris, les aides et leur montant diffèrent. Dans la première catégorie, on retrouve les travaux lourds dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 1 000 € HT / m² dans la limite de 80 000 € par logement. Ils désignent la réhabilitation de logements dont le niveau de dégradation a été constaté par un diagnostic ou un arrêté d'insalubrité ou de péril.


Gros travaux de réhabilitation d’un logement très dégradé : Habiter serein

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 350 euros au mètre carré dans la limite de 28 000 euros par logement. Dans la seconde catégorie sont regroupés les travaux d’amélioration dont le plafond de travaux subventionnables est fixé à 750 € HT / m² dans la limite de 80 m².


Travaux de mise en sécurité et de salubrité : Habiter sain

Pour un logement mis en location, le montant est de maximum 262,50 euros au mètre carré dans la limite de 21 000 euros par logement.


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Les travaux de rénovation énergétique

Les travaux de rénovation énergétique

Les travaux de rénovation énergétique

Jusqu'à récemment, seuls les propriétaires résidant dans leur logement principal pouvaient prétendre aux aides pour les travaux de rénovation énergétique.


Depuis janvier 2021, les bailleurs peuvent également bénéficier du dispositif MaPrimeRénov', avec un maximum de 3 logements en location, et cela sans aucune contrepartie sur les loyers pratiqués. Ces mesures visent à aider les 26% de locataires en situation de précarité énergétique, selon l'Observatoire National de la Précarité Énergétique (ONPE).


Depuis juillet 2021, les bailleurs ayant des projets de rénovation visant à améliorer la performance énergétique d'au moins 35% de leur bien (isolation, remplacement de fenêtres, etc.) peuvent soumettre leur demande sur le site maprimerenov.gouv.fr, géré par l'Agence nationale pour l'habitat (Anah).


À noter : Quelle que soit l'aide principale accordée parmi les différents dispositifs de réhabilitation, d'amélioration ou de rénovation énergétique, si les travaux permettent de réduire la consommation énergétique de votre bien locatif d'au moins 35%, la prime Habiter Mieux, d'un montant de 1500 euros, peut être cumulée.

Jusqu'à récemment, seuls les propriétaires résidant dans leur logement principal pouvaient prétendre aux aides pour les travaux de rénovation énergétique.


Depuis janvier 2021, les bailleurs peuvent également bénéficier du dispositif MaPrimeRénov', avec un maximum de 3 logements en location, et cela sans aucune contrepartie sur les loyers pratiqués. Ces mesures visent à aider les 26% de locataires en situation de précarité énergétique, selon l'Observatoire National de la Précarité Énergétique (ONPE).


Depuis juillet 2021, les bailleurs ayant des projets de rénovation visant à améliorer la performance énergétique d'au moins 35% de leur bien (isolation, remplacement de fenêtres, etc.) peuvent soumettre leur demande sur le site maprimerenov.gouv.fr, géré par l'Agence nationale pour l'habitat (Anah).


À noter : Quelle que soit l'aide principale accordée parmi les différents dispositifs de réhabilitation, d'amélioration ou de rénovation énergétique, si les travaux permettent de réduire la consommation énergétique de votre bien locatif d'au moins 35%, la prime Habiter Mieux, d'un montant de 1500 euros, peut être cumulée.

Jusqu'à récemment, seuls les propriétaires résidant dans leur logement principal pouvaient prétendre aux aides pour les travaux de rénovation énergétique.


Depuis janvier 2021, les bailleurs peuvent également bénéficier du dispositif MaPrimeRénov', avec un maximum de 3 logements en location, et cela sans aucune contrepartie sur les loyers pratiqués. Ces mesures visent à aider les 26% de locataires en situation de précarité énergétique, selon l'Observatoire National de la Précarité Énergétique (ONPE).


Depuis juillet 2021, les bailleurs ayant des projets de rénovation visant à améliorer la performance énergétique d'au moins 35% de leur bien (isolation, remplacement de fenêtres, etc.) peuvent soumettre leur demande sur le site maprimerenov.gouv.fr, géré par l'Agence nationale pour l'habitat (Anah).


À noter : Quelle que soit l'aide principale accordée parmi les différents dispositifs de réhabilitation, d'amélioration ou de rénovation énergétique, si les travaux permettent de réduire la consommation énergétique de votre bien locatif d'au moins 35%, la prime Habiter Mieux, d'un montant de 1500 euros, peut être cumulée.

Jusqu'à récemment, seuls les propriétaires résidant dans leur logement principal pouvaient prétendre aux aides pour les travaux de rénovation énergétique.


Depuis janvier 2021, les bailleurs peuvent également bénéficier du dispositif MaPrimeRénov', avec un maximum de 3 logements en location, et cela sans aucune contrepartie sur les loyers pratiqués. Ces mesures visent à aider les 26% de locataires en situation de précarité énergétique, selon l'Observatoire National de la Précarité Énergétique (ONPE).


Depuis juillet 2021, les bailleurs ayant des projets de rénovation visant à améliorer la performance énergétique d'au moins 35% de leur bien (isolation, remplacement de fenêtres, etc.) peuvent soumettre leur demande sur le site maprimerenov.gouv.fr, géré par l'Agence nationale pour l'habitat (Anah).


À noter : Quelle que soit l'aide principale accordée parmi les différents dispositifs de réhabilitation, d'amélioration ou de rénovation énergétique, si les travaux permettent de réduire la consommation énergétique de votre bien locatif d'au moins 35%, la prime Habiter Mieux, d'un montant de 1500 euros, peut être cumulée.

Léa N.

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Mon but est d'assurer la meilleure expérience utilisateur et de simplifier ce qui peut sembler compliqué. Travaux, conseils pour investir, fiscalité et autres sujets à votre disposition !

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